La cour administrative d’appel de Nantes a annulé l’autorisation délivrée par le préfet du Finistère pour la construction de trois éoliennes. Cette décision s’appuie sur un argument ancré dans la culture bretonne : deux menhirs, l’un debout et l’autre couché, se situent à seulement 550 mètres des éoliennes. La justice a jugé que ces structures de 120 mètres de haut auraient un impact néfaste sur les paysages environnants et sur le patrimoine archéologique local.